15.2.17

l'enfant réel

accordé à l’enfant, le temps n’est ni perdu, ni volé.

c’était quelque chose comme ça que ma tante avait écrit dans le calepin-nuage qui m’a été offert le jour de la célébration.

ni perdu,

ni volé.


le temps nouveau, ralenti. le temps qu’on dirait à côté, mais que j’éprouve comme plus vrai et plus vivant que n’importe quel quotidien. ancré là, dans une sorte de surprésent.

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