accordé à l’enfant, le
temps n’est ni perdu, ni volé.
c’était quelque chose
comme ça que ma tante avait écrit dans le calepin-nuage qui m’a été offert le
jour de la célébration.
ni perdu,
ni volé.
le temps nouveau,
ralenti. le temps qu’on dirait à côté, mais que j’éprouve comme plus vrai et
plus vivant que n’importe quel quotidien. ancré là, dans une sorte de
surprésent.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire